“Il n’importera pas de se dire quelque chose de précis, mais seulement de se parler. Le langage étant un moyen de communication exclusif de l’homme, tout refus de langage est une mort.” (Roland Barthes).
Le désire de communiquer, reste et doit toujours rester la motivation principale, quand on commence à apprendre une nouvelle langue.
Aujourd’hui, le sur intellectualisation de l’apprentissage de l’anglais fait ravages. Le system scolaire n’est plus adapté à l’enseignement de l’anglais, toujours considère comme une matière scolaire plutôt qu’une ouverture sur le monde
Nous décontextualisons l’apprentissage en le faisant passer d’une langue vivante à une langue savante comme le latin ou le grec.
Enfin, les nouvelles connaissances acquises ne sont pas valorisées et les erreurs sanctionnées !
Pour toutes ces raisons, l’apprentissage classique de l’Anglais est mal adapté aux besoins réels dans le monde d’aujourd’hui. Trop souvent cela ne s’arrête pas au système scolaire, nombreux centres de formation mantiens l’apprenant adulte dans cette environnement ou règles de grammaire prime avant de pouvoir se présenter !
Tant que l’anglais reste dissocié aux compétences de la communication, les difficultés persisteront !
Le rôle des responsables pédagogiques doit être uniquement focalisé à aider l’apprenant de l’anglais à comprendre pourquoi, il apprend, et la réponse à cela est de pouvoir communiquer ! Savoir communiquer en anglais va permettre d’ouvrir le regard sur le monde, échanger, partager, créer des liens.
Si nous, formateurs faisons tout de notre pouvoir pourque nos apprenants soient motivés par le désir de communiquer efficacement avec d’autres personnes en utilisant l’anglais comme vecteur, nous avons réussi notre mission.
L’unique véritable motivation durable pour apprendre une deuxième langue, est de vouloir être capable de communiquer dans cette langue.
La communication se produit quand c’est un désir profond, et ce ne sont pas un manque des mots, grammaire, ou syntaxe qui va l’empêcher d’avoir lieu !
Image par Gerd Altmann de Pixabay
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